vendredi 29 mars 2013

Présentation d'une photographie

STADE DE GERLAND
 
 
 
 
Le stade de Gerland est la principale enceinte sportive de la ville de Lyon. Situé dans le 7e arrondissement, dans le quartier de Gerland, il est actuellement utilisé par l'Olympique Lyonnais.
Il fait l’objet d’une inscription au titre des monuments historiques depuis le 4 Octobre 1967.
Œuvre de l'architecte lyonnais Tony Garnier, le stade de Gerland est mis en chantier en 1913.
La Grande Guerre provoque la suspension les travaux qui reprennent en 1919, avec l'aide de prisonniers de guerre allemands. L'enceinte est finalement opérationnelle en 1920.
 
Ne disposant pas de tribunes couvertes à son inauguration, le stade connaît des vagues d'aménagements successifs. La piste cycliste qui ceinture le terrain de football est ainsi sacrifiée dès la fin des années 1960 afin d'augmenter la capacité d'accueil dépassant alors la barre des 50 000 places.
Afin de recevoir la Coupe du monde de football en 1998, le stade subit de nombreux changements. Tout d'abord, les deux virages sont démolis, à l'exception du mur d'enceinte composé d'arcades, et reconstruits. Désormais couverts, ils sont beaucoup plus proches du terrain que les anciens, mais ont également perdu en capacité. D'autre part, les tribunes latérales voient leurs sièges entièrement changés : les anciens bancs en bois sont remplacés par des places individuelles. La capacité du stade est ainsi réduite à 43 051 places.
 
Cette œuvre est une photographie, elle représente un stade de football.
C’est une œuvre figurative prise en temps réel.
On peut distinguer les couleurs assez clairs en général, de légères couleurs sombres.
Au niveau du cadrage, cette photographie est un plan d’ensemble avec un point de vue
en plongée, vue de hauteur. On peut dire également qu’on voit le stade en second plan.
On voit l’ensemble du stade représenté (l’extérieur, l’intérieur, la hauteur, la pelouse et les gradins).
Quand on regarde la photo, on voit qu’elle est en ronde-bosse ; c'est-à-dire on peut circuler autour.
 
 
Le stade de Gerland se situe dans le 7eme arrondissement de Lyon, dans le quartier de Gerland. Inauguré par le Lyonnais Tony Garnier, commencé en 1913 et achevé en 1920.
 
Pour la description de la photo, on voit tout le stade dans l’ensemble de son œuvre, en biais.
Le toit du stade ouvert recouvrant chaque côté du stade pour  cacher les gradins.
On aperçoit justement ces gradins à l’intérieur du stade, dont 2 côtés qu’on voit plus que les autres.
A l’intérieur également, la pelouse ensoleillée avec quelques parties ombragées.
A l’extérieur, on voit des escaliers un peu partout autour, menant au stade. A côté de chaque escalier, un espace vert  pour les séparer.
Et autour du stade, la route et des usines.
 
Cette photographie provient d’un contexte historique, car classée dans les monuments historiques.
Elle renvoie à la vie actuelle, par sa capacité de places et sa réputation pour les matchs de football.
Elle illustre un évènement, celui de l’équipe de football de l’olympique lyonnais qui y dispute ses matchs tous les week-ends. Elle sert aussi à séduire les spectateurs et les convaincre d’assister à un match dans une ambiance folle.
 
L’auteur est le fils d’un dessinateur en fabrique. Il est né à la croix-rousse le 13 Aout 1869.
Cet architecte lyonnais emblématique, au style particulièrement reconnaissable, conçoit ses ensembles comme une cité en miniature, dans le sillage des grandes utopies socialistes du 19eme siècle, et s'appuyant sur le principe des cités-jardins qui sont réalisées à la même époque en Europe et aux États-Unis.
 
Cette photographie rappelle la fonction symbolique. C’est un monument historique qui rapporte au football Lyonnais depuis le 19eme siècle et qui est aujourd’hui, mondialement
reconnu.


La Seconde Guerre Mondiale

       La deuxième guerre mondial une période de l’histoire qui marquera l’humanité à jamais et restera a ja  mais marqué dans nos mémoires, beaucoup de fait à marquée la France et le Monde. Le peuple français a aussi subit des souffrances atroce dû a la guerre. La France possède quelque chose de spécial par rapport aux autres pays, cette chose ou plutôt cette ville est Lyon, la capitale de la résistance. Je ne parlerais pas de la résistance mais, plutôt de ce qui c’est passé le 11 mai 1987. Le procès de Klaus Barbie. D’abord un petit résumé sur qui est Klaus Barbie et ce qu’il à fait. Klaus Barbie était le chef de Gestapo et à commit des crimes contre l’humanité, lequel ? Nous allons vous raconter le témoignage des rescapés du cruel et bestial Klaus Barbie !
Le 11 mai 1987 le premier jour du procès de Klaus Barbie, l’accusé rentre avec le regard d’une victime. Les premiers jours seront consacrés aux « Blabla » du tribunal et du curriculum vitae. Deux jours après le début du procès de Klaus Barbie, ce dernier quitta le tribunal et refusa de comparaitre face à la cour. Une décision qui n’étonna pas beaucoup, car l’ancien chef de la Gestapo à toujours dit qu’il n’était pas Klaus Barbie l’allemand mais, un Colombien. Le procureur Général à dit « ce procès sans la personne de l’accusé, ne sera pas moins important qu’avec lui. Car, avec lui c’était la perspective d’entendre des mensonges. Son absence nous les épargnera… ».
Le procès débuta enfin. Les victimes son arrivées avec tant de fierté. Le fait de témoigner pour elle est aussi important qu’autre chose, car c’est avec fierté qu’elles le font. Ces femmes et hommes sont de l’ancienne résistance, ancienne et ancienne déportées et aussi des deux. Ces « merveilleuses vieilles dames » comme le dit si bien notre source refusent de siégé et de s’assoir et rester debout et droit et digne, comme si elle nous disait que cette corvée n’est rien comparé à ce qu’on a subit. Dans la salle se trouve les enfants, les petits-enfants des témoins sont aussi dans la salle. Pour beaucoup ils apprendront la vérité et découvrirons les atrocités de la guerre en même temps que le monde.
Les femmes racontaient leurs histoires, leurs passés, leurs vécu. Certaine agrippe un mouchoir d’autre se tiennent a la barre ou cries leur haine tout en levant leur poing rageur. Un puzzle se met en place pendant les dires des anciens déportés et résistante. Elle balance tout, sans oublié quelque chose, elles racontent ce qu’elles ont subies. La nudité, l’humiliation, les odeurs, les expériences. Quand les larmes commencent à couler le long de leur joue rosés, elles parlent de la souffrance des autres jamais, des leurs, comme pour dire que eux avait eut de la chance de revenir. Nous allons vous présenté une des victimes, une des plus jeunes qui viennent témoigner. Léa Katz dix sept ans, elle à été prise dans la souricière de la rafle de la rue Saint Catherine. On peut revoir la gamine rousse qui reçoit deux gifles d’un militaire allemand en l’a traitant de « petite chose insignifiante ».
Édith Kl binder raconte son voyage jusqu’à Auschwitz, dans un convoie de plus de mille cinq cent hommes, femmes et enfants. Ce dernier raconta son voyage pendant le procès « Ce voyage à été quelque chose d’alucinant, j’ai vu une femme devenue folle dans le wagon ; une autre à fait une fausse couche. J’ai entendu une mère chanter pour apaiser son fillette en larmes. Le train s’est arrêté une fois pour qu’on vide les tinettes qui débordaient. Sur les mille cinq cent au départ de Drancy, mille deux cent soixante ont été liquides à leur arrivée au camp […] » Quelque que chose de choquant pour l’assembler et pour nous tous. Plus des trois quart des personnes ont été éliminé froidement à l’arrivée.

Beaucoup d’autre victime sont venu témoigner, nous avons seulement sélectionné quelque uns, pas les plus importants, car tout les témoignages sont important. Le procès à durée plusieurs jours. À la fin du procès le « barbare, la bête » comme le surnommait une des victimes, Klaus Barbie avoua qu’il était Klaus Barbie en parlant en français. Nous remercions toute les résistants, ces héros n’ont pas de la France mais du monde, nous les remercions de les actes, car sans eux se monde ne serait peut être pas celui qu’on connait.



RAPPEL DE LA SECONDE GUERRE MONDIALE



Apres une visite du musée de la résistance nous nous somme interrogé.

Quelle sont la conséquence humaines de la seconde guerre mondiale ? :

La  seconde guerre mondiale a eu lieu en Allemagne, Italie, URSS, Espagne.
Tous ses pays on été contrôlés par les dictateurs.
Hitler en Allemagne, Mussolini en Italie, Staline en URSS et franco en Espagne.
Mais tous ses dictateurs avaient le même objectif :
Une augmentation de leur territoire et un contrôle total de la société.
Ces pays utilisaient des lance-roquette, des chars, canons anti aériens.
Les causes les plus profondes de la seconde guerre mondiale en Europe sont divergentes  selon les historiens.
On site couramment les conséquences des traités de 1919, les divergences entre vainqueurs,
La crise de 1929, ses conséquences sociales et la sortie de crise par le politique d’armement, le rôle des idéologies.
Il y a eu 40 à 50 millions de morts, autant de civils que de militaires dont plus de 5 million de juifs. 

Présentation d'une oeuvre d'art " Marilyn Monroe"


L’œuvre étudiée est le célèbre tableau d’Andy Warhol « Marilyn Monroe »


Il s’agit d’une peinture faite sur toile réalisée par Andy Warhol en 1962 intitulé « Marilyn Monroe dorée ». L’œuvre se trouve actuellement au Musée d'Art Moderne de New York.
C’était un artiste américain né en 1928 et décédé en 1987. Il était l’un des plus connus du XX ème siècle.

L’œuvre à été réalisé sur toile avec une technique d’imprimerie fondée sur la technique du pochoir. C’est un tableau figurative il représente une femme, « Marilyn Monroe » dont il était fou amoureux dans les années 1950-1955. Elle « l’inspira » dans ses œuvres futures. Les couleurs sont vives, flash, elles sont utilisées pour attirer l’œil. Il y a du contraste et de la lumière en même temps. Le cadrage est un gros plan, il n’a peint que sa tête. Le point de vue est frontal avec en 1er plan la tête de Marilyn Monroe puis en 2ème plan une couleur de fond.

A partir du model original, Warhol sur sa peinture, n’a modifié que les couleurs. Son intention était de « rabaisser l’art » pour prouver qu’il pouvait en faire un produit de consommation.
Elle appartient au mouvement qui est le « Pop Art » (art populaire), qui a été créé au milieu des années 1950 en Grande Bretagne. C’est une façon de caractériser la publicité, la télévision, les magasines et de le faire de façon agressive.

C’est un tableau qui représente la tête d’une femme, Marilyn Monroe, il était très amoureux d’elle et la peignait en grande quantité comme dans une chaine industrielle.

J’ai choisi cette œuvre car elle est moderne, faites avec des couleurs vives et avec un personnage intéressent.

                                                                                                                                                      J.K

La franc -maçonnerie

  



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Jusqu'au milieu du XXe siècle l'histoire de la franc-maçonnerie fut exclue du champ de l'histoire universitaire classique. Particulièrement en France, l'historiographie maçonnique se partageait alors presque exclusivement entre des auteurs nettement hostiles à la franc-maçonnerie et d'autres qui lui étaient résolument favorables et qui étaient souvent maçons eux-mêmes[3].
Depuis, son influence politique s'est amoindrie et son conflit historique avec l'Église catholique romaine en France, elle aussi devenue politiquement moins puissante, s'est sinon résolu du moins apaisé. Dans ce climat devenu plus favorable à l'application des principes et méthodes de l'érudition classique, l'historiographie maçonnique a pu se développer et se constituer en une discipline autonome, la maçonnologie[3], consacrée à une étude plus large et plus neutre de l'univers culturel et intellectuel très varié que constitue la franc-maçonnerie européenne en général, et la franc-maçonnerie française en particulier.
La franc-maçonnerie française offre à l'historien de nombreux documents (manuscrits, diplômes, gravures, caricatures, articles de journaux, imprimés). Elle a produit également un grand nombre d'objets rituels (tabliers maçonniques, tableaux de loge, vaisselle, médailles commémoratives, etc.), mais également de la vie courante (montres, pipes, tabatières, sujets en faïence) exposés au public dans plusieurs musées ou expositions permanentes. Mais les sources principales restent celles des manuscrits et en tout premier lieu le cabinet des manuscrits de la Bibliothèque nationale de France et celui de la Bibliothèque municipale de Lyon. En 2001, le gouvernement russe a par ailleurs restitué aux obédiences françaises, qui les mettent à la disposition des historiens, la totalité des archives qui avaient été confisquées aux loges pendant l'occupation allemande et qui étaient conservées à Moscou depuis la libération[3].

mardi 12 mars 2013

Le Reggaeton une musique rythmé, son origine.

ORIGINE DU REGGAETON


Le reggaeton ou reggaetón est un genre musical né au début des années 1990.
Chanté en espagnol,  il dérive du ragga, avec des influences hip-hop, et des rythmes de musique d'Amérique centrale et des Caraïbes. Apprécié en Amérique latine (Panama), dans les Caraïbes (Porto Rico) et en Espagne, en Italie et au Portugal, seuls pays d'Europe où le style c’est implanté.
Les personnes sont en général attirées par cette musique car elle est très corps & corps. Il existe un débat assez intéressant en Amérique latine sur l'origine du reggaetón. Certains défendent qu'il est de Porto Rico, tandis que d'autres soutiennent qu'il est de Panama. Mais on peut tenter des conclusions sur différents éléments.
Les premiers enregistrements de reggae en Amérique latine ont été réalisés au Panama, au milieu des années 1970. Un grand nombre d'immigrés jamaïcains étaient arrivés pendant la construction du canal de Panama et ils ont apporté avec eux la musique reggae à la population locale. Ceci semble toutefois invraisemblable, le canal de Panama ayant été construit bien avant l'apparition du reggae, et plus particulièrement du ragga, en Jamaïque.

En 1990, le rappeur Vico C de Porto Rico produit le premier disque de rap en langue espagnole.

Dans les années 1990, les portoricains écoutaient du ragga en américain, puis ils réinterprétaient en espagnol les chansons sur les mêmes musiques. Puis ils ont créé leurs propres riddims, avec une plus grande influence du rap que du ragga.

Riddims : Un riddim est une séquence musicale formant la base d'une chanson. Souvent joué par la basse ou le clavier, il a pour particularité d'être ré-utilisé de multiples fois.

Caractéristiques sonores
En fin de compte, le reggaetón est un mélange de sons différents venant de pays différents. En effet, on constate que certains chanteurs comme Daddy Yankee sont plus inspirés par le rap US tandis que d'autres utilisent des musicalités traditionnelles des Caraïbes. Mais toutes les chansons de reggaetón ont un but commun : faire danser. C'est pourquoi on retrouve ce qu'on appelle dans le rap : le "beat". C'est une constante dans ces chansons et c'est ce qui leur donne un rythme dansant.


 
 
Quelques titres de musique Reggaeton :
 
 
Daddy y yankee - Lo que paso paso : http://www.youtube.com/watch?v=6dmmXBuuA9A
Alexis Y fido - Blam Blam : http://www.youtube.com/watch?v=4ljvlN0XL5I
Angel y khriz - Ven bailalo : http://www.youtube.com/watch?v=1g_G6f4_iGM
Don Omar - Dale don dale : http://www.youtube.com/watch?v=L89r2vFp5WA


Visite du musée de la Résistance , Le Procès de Klaus Barbie et de son histoire.




POURQUOI KLAUS BARBIE A ÉTÉ JUGER POUR CRIME CONTRE L’HUMANITE ?



-Un crime contre l’humanité est une violation délibérée des droits fondamentaux d’un individu ou d’un groupe d’individus. Inspirée par des motifs politiques, philosophiques, raciaux ou religieux. C’est une atteinte à l’intégrité physique ou à la liberté d’une personne.


Le territoire de Klaus Barbie : Lyon. Né en Allemagne le 25 octobre 1913. Ses parents décèdent en 1933. Il adhère aux jeunesses hitlériennes à cette même date. A 23 ans, en mai 1937 Klaus Barbie adhère au parti nazi. A la fin de 1938, durant 3mois, il effectue son service militaire. Il donne l’ordre d’exécuter de nombreux otages et déporter des milliers de juifs. En 1942 il se rend à Dijon puis à Lyon, où il dirige avec 25 officiers sous ses ordres, un service de la police nazi. Chef de la gestapo dans les services de la police de sûreté allemande basé à Lyon. Durant le 1er semestre de l’année 1944, Barbie dirige également le commando de la Sipo –SD qui accompagne les troupes de répressions des maquis, notamment dans l’Ain et le Jura : il torture, tue ou fait tuer de nombreux villageois.


La cavale : En 1951, les pressions françaises sur les autorités allemandes et alliées pour obtenir l’extradition de Barbie se font cependant trop fortes. Le traité de Paris, signé en avril renforce la coopération entre la France et l’Allemagne. L’OSS devenu la célèbre CIA et dirigé par le contact de Barbie dans l’Allemagne de l’après guerre. En partant d’Augsbourg, Klaus Barbie rejoint Munich et, de là, l’Autriche. Il passe ensuite à Rome et termine son périple italien à Gênes, où un bateau l’attend déjà Barbie et sa famille arrivent ainsi dans l’argentine de juan.

Le pouvoir politique change en Bolivie et Klaus Barbie est arrêté. La nationalité bolivienne lui est retirée au motif qu’il a fait de fausses déclarations pour l’obtenir. Il est expulsé de Bolivie et se retrouve dans un avion vers la France. Son expulsion est annoncé le 7février 1983, en France il sera emprisonné à Lyon.


Il a été condamné pour crime contre l’humanité lors du <procès Barbie> en 1987 à Lyon.