La deuxième guerre
mondial une période de l’histoire qui marquera l’humanité à jamais et restera a
ja mais marqué dans nos mémoires, beaucoup de fait à marquée la France et le
Monde. Le peuple français a aussi subit des souffrances atroce dû a la guerre. La
France possède quelque chose de spécial par rapport aux autres pays, cette
chose ou plutôt cette ville est Lyon, la capitale de la résistance. Je ne
parlerais pas de la résistance mais, plutôt de ce qui c’est passé le 11 mai
1987. Le procès de Klaus Barbie. D’abord un petit résumé sur qui est Klaus
Barbie et ce qu’il à fait. Klaus Barbie était le chef de Gestapo et à commit
des crimes contre l’humanité, lequel ? Nous allons vous raconter le
témoignage des rescapés du cruel et bestial Klaus Barbie !
Le 11 mai 1987 le
premier jour du procès de Klaus Barbie, l’accusé rentre avec le regard d’une
victime. Les premiers jours seront consacrés aux « Blabla » du
tribunal et du curriculum vitae. Deux jours après le début du procès de Klaus
Barbie, ce dernier quitta le tribunal et refusa de comparaitre face à la cour.
Une décision qui n’étonna pas beaucoup, car l’ancien chef de la Gestapo à
toujours dit qu’il n’était pas Klaus Barbie l’allemand mais, un Colombien. Le
procureur Général à dit « ce procès sans la personne de
l’accusé, ne sera pas moins important qu’avec lui. Car, avec lui c’était la
perspective d’entendre des mensonges. Son absence nous les épargnera… ».
Le procès débuta enfin.
Les victimes son arrivées avec tant de fierté. Le fait de témoigner pour elle
est aussi important qu’autre chose, car c’est avec fierté qu’elles le font. Ces
femmes et hommes sont de l’ancienne résistance, ancienne et ancienne déportées
et aussi des deux. Ces « merveilleuses vieilles dames » comme le dit
si bien notre source refusent de siégé et de s’assoir et rester debout et droit
et digne, comme si elle nous disait que cette corvée n’est rien comparé à ce
qu’on a subit. Dans la salle se trouve les enfants, les petits-enfants des
témoins sont aussi dans la salle. Pour beaucoup ils apprendront la vérité et
découvrirons les atrocités de la guerre en même temps que le monde.
Les femmes racontaient
leurs histoires, leurs passés, leurs vécu. Certaine agrippe un mouchoir d’autre
se tiennent a la barre ou cries leur haine tout en levant leur poing rageur. Un
puzzle se met en place pendant les dires des anciens déportés et résistante.
Elle balance tout, sans oublié quelque chose, elles racontent ce qu’elles ont
subies. La nudité, l’humiliation, les odeurs, les expériences. Quand les larmes
commencent à couler le long de leur joue rosés, elles parlent de la souffrance
des autres jamais, des leurs, comme pour dire que eux avait eut de la chance de
revenir. Nous allons vous présenté une des victimes, une des plus jeunes qui
viennent témoigner. Léa Katz dix sept ans, elle à été prise dans la souricière
de la rafle de la rue Saint Catherine. On peut revoir la gamine rousse qui
reçoit deux gifles d’un militaire allemand en l’a traitant de « petite
chose insignifiante ».
Édith Kl binder raconte
son voyage jusqu’à Auschwitz, dans un convoie de plus de mille cinq cent
hommes, femmes et enfants. Ce dernier raconta son voyage pendant le procès
« Ce voyage à été quelque chose d’alucinant, j’ai vu une femme devenue
folle dans le wagon ; une autre à fait une fausse couche. J’ai entendu une
mère chanter pour apaiser son fillette en larmes. Le train s’est arrêté une
fois pour qu’on vide les tinettes qui débordaient. Sur les mille cinq cent au
départ de Drancy, mille deux cent soixante ont été liquides à leur arrivée au
camp […] » Quelque que chose de choquant pour l’assembler et pour nous
tous. Plus des trois quart des personnes ont été éliminé froidement à
l’arrivée.
Beaucoup d’autre
victime sont venu témoigner, nous avons seulement sélectionné quelque uns, pas
les plus importants, car tout les témoignages sont important. Le procès à durée
plusieurs jours. À la fin du procès le « barbare, la bête » comme le
surnommait une des victimes, Klaus Barbie avoua qu’il était Klaus Barbie en
parlant en français. Nous remercions toute les résistants, ces héros n’ont pas
de la France mais du monde, nous les remercions de les actes, car sans eux se
monde ne serait peut être pas celui qu’on connait.
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